Quand on songe à toute la peine qu'un pauvre petit oiseau a dû prendre pour construire un joli nid sans autre instrument que son bec et ses deux petites pattes, quand on pense à l'activité incessante qu'il est obligé de déployer pour nourrir une si nombreuse famille, on est partagé entre l'admiration et l'attendrissement.
Un aperçu des postes de secours
sur l'immense plage,
Je te vois, est pour moi sans conteste une des phrases la plus belle et la puissante du film Avatar.