BONJOUR MES AMIS

Washington | L’ex secrétaire d’Etat Hillary Clinton a été hospitalisée ce vendredi soir à la suite d’une crise cardiaque dans un hôpital de la capitale fédérale américaine, selon des sources proches.

Des témoins précisent que quelques instants avant de succomber, Hillary Clinton se serait adressé à eux comme la Présidente des Etats-Unis. « Je suis la Présidente des Etats-Unis d’Amérique ! Vous allez m’obéir maintenant! », aurait-elle ainsi crié selon des témoins qui préfèrent rester anonymes.

« Je ne le laisserai pas diriger l’Amérique ! Je ne le laisserai pas diriger l’Amérique ! Je ne le laisserai pas diriger l’Amérique… » auraient été ses dernières paroles désespérées avant de tomber raide comme une saucisse sur le sol.

Madame Clinton n’a effectivement pas digéré le fait qu’elle ne sera pas la future Présidente des Etats-Unis d’Amérique et cette crise – tout autant symbolique que physique – représente toute l’amertume qu’elle a ressentie durant les derniers jours de sa campagne.

Obama a décidé de quitter précipitamment les festivités familiales dans sa villa de campagne pour se rendre à l’hôpital afin de soutenir moralement la pauvre dame à l’agonie. « C’est les russes ! C’est les russes ! », aurait dit Hillary Clinton à Obama tandis qu’elle bavait et qu’elle regardait dans le vide avec des yeux de poissons morts.

« Vous savez, une campagne présidentielle, c’est très difficile, » aurait déclaré John son interprète. « Quand on est sur le plancher des vaches et qu’on fait de la politique, ah ah, vous savez c’est pas facile, » toujours selon John, qui parle un français impeccable. « Tant va la cruche à l’eau, qu’à la fin elle se casse. » dit-il visiblement éberlué par les circonstances tragiques.

Bill Clinton quant à lui n’a pas voulu commenter l’affaire.

Madame Clinton a subi une cuisante défaite face à Donald Trump en novembre dernier lors des résultats des élections présidentielles américaines. Le vote du collège électoral à quant a lui été jeté le 20 décembre dernier et a officiellement fait de Donald Trump le futur président des Etats-Unis. Il entrera dans ses fonctions officielles le 20 janvier prochain et reste donc jusqu’à l’heure actuelle le Président Élu.

Il semblerait que son état s’améliore mais elle restera à l’hôpital tout un mois entier, c’est à dire jusqu’à l’investiture de Trump comme futur président des Etats-Unis.

C’est un terrible revers du droit pour un parti qui refuse d’accepter sa défaite et qui ne cesse de blâmer les russes, les fausses informations sur internet et la mentalité des américains en général pour l’échec d’Hillary Clinton.

L’histoire ne se rappellera pas de ce triste épisode… ce qui n’est pas plus mal.

Source: Before It’s News, le 24 décembre 2016 

Hillary Clinton hospitalisée d’urgence à la suite d’une crise de nerf et d’un arrêt cardiaque - Le Blog de Lazare

Une société américaine vend du vin rouge et du vin blanc spécialement conçus pour être dégustés par les chats. 

La société Apollo Peak, basée à Denver dans l’État du Colorado, propose un “Pinot Meow”, un “Catbernet”, ou encore un “Moscato” (on vous laisse trouver les jeux de mots) à partager avec minou. Il existe même des versions canines — au cas où vous seriez plutôt l’ami des chiens — : un “Malbark” ou un “Chardognay”. Bref, que vous soyez blanc ou rouge, chien ou chat, vous pouvez désormais boire accompagné de votre animal domestique. Après tout, “Pourquoi boire seul ?”, s’interroge la marque :

“Vous connaissez la musique : vous rentrez tard chez vous après une rude journée de travail et tout ce que vous voulez, c’est vous détendre en ouvrant une bonne bouteille. Mais vous n’avez personne avec qui boire. Enfin, vous avez un chat mais les chats ne boivent pas de vin, pas vrai ? Faux ! Enfin, presque…”, explique la société Apollo Peak dans sa vidéo promotionnelle pour justifier la pertinence de son produit.

 

Ainsi, vous ne boirez plus seul (à condition d’avoir un chat, bien sûr).

 clic sur le lien pour en savoir plus.

Trinquez avec votre matou : voici le vin pour chat

COUCOU MES AMIS 

En Écosse, des employés d’Amazon en sont réduits à dormir sous des tentes pour pouvoir travailler

Avoir un job et vivre comme un SDF, c’est ce que propose Amazon, entreprise dont les salaires forcent certains de ses employés écossais à dormir dans des tentes à proximité de leur lieu de travail.

En cette période de fêtes, vous avez probablement eu le réflexe de commander vos cadeaux sur Amazon, séduit par la livraison express, le paiement sécurisé et… les conditions de travail déplorables ? L’entreprise américaine est accusée (entre autres) d’exploiter ses employés du centre de Dumferline, dans la région de Fife, en Écosse, à tel point que certains d’entre eux sont obligés de dormir dans des tentes à côté du bâtiment pour assurer leurs 60 heures de travail hebdomadaire.

En cause, les salaires cassés (entre 3 et 5,7 euros/heure après les charges) qui ne permettent pas aux employés d’utiliser la navette de l’entreprise pour rentrer chez eux, rebutés par son prix prohibitif de 7,35 livres sterling par jour (8,7 euros). Un des salariés interrogés par le journal écossais The Courier confie habiter à plus d’une centaine de kilomètres du site et ne pas pouvoir couvrir cette distance deux fois par jour, les billets de train étant trop chers.

“Amazon devrait avoir honte que ses salaires forcent ses employés à camper dehors”

 L’affaire n’a pas tardé à soulever l’opinion britannique et à susciter les réactions de personnalités politiques. Willie Rennie, leader des libéraux-démocrates (Lib-dem) écossais, a vivement critiqué l’entreprise américaine : “Amazon devrait avoir honte que ses salaires forcent ses employés à camper dehors au beau milieu de l’hiver pour joindre les deux bouts. Il est temps que la direction fasse une longue et profonde introspection pour changer ses pratiques.” Mais rien dans la succession de scandales de ce genre ne laisse penser qu’Amazon soit prêt à une telle remise en question.

Au contraire, les porte-parole de la boîte sont même enthousiastes sur les conditions de travail imposées à leurs employés. “Pendant le Black Friday [jour où le plus grand nombre de commandes est enregistré, ndlr], nous avons organisé des tombolas gratuites. Il faut que les employés s’amusent”, s’est ainsi réjoui Paul Ashraf, manager général des opérations pour Amazon au Royaume-Uni. Un discours paternaliste digne du XIXe siècle et à mille lieues des réalités du quotidien des entrepôts.

Pas de jour de repos pendant 3 mois

Ce n’est pas la première fois que l’entreprise de Jeff Bezos est accusée d’exploiter ses employés, et plus particulièrement ses livreurs. Certains d’entre eux roulent 11 heures par jour, sans jours de repos (même le dimanche) pendant des mois. Les rythmes imposés sont extrêmes au point qu’ils doivent faire leurs besoins dans des bouteilles ou des sacs. Pas le temps de s’arrêter pour livrer les 200 colis quotidiens, le tout pour un salaire de misère.

Toujours interviewé par The Courier, Paul Ashraf dévoile peu à peu le cœur du problème : “Nous nous concentrons exclusivement sur les obsessions de clients.” C’est donc bien la furie de la livraison express qui rend la vie impossible à des milliers d’ouvriers ou livreurs. Mais pas seulement : pour les cadres aussi, travailler chez Amazon est un enfer : “J’ai pratiquement vu tous mes collègues pleurer à leur bureau“, confie l’un d’eux au New York Times. Une culture du chiffre et du gigantisme qui pousse l’entreprise à adopter des stratégies managériales des plus extrêmes. Il est même arrivé que des employés se fassent virer en cas de cancer ou de fausse couche. “Il faut que les employés s’amusent“. On en est très loin.

 BONJOUR MES AMIS,

UN PETIT CAFE, CELA VOUS DIT ! 

S'il y a de la lumière dans ton âme, il y aura de la beauté en toi ;
S'il y a de la beauté en toi, il y aura de l'harmonie dans ta maison ;
S'il y a de l'harmonie dans ta maison, il y aura de l'ordre dans ton pays ;
S'il y a de l'ordre dans ton pays, il y aura de la paix dans le monde.

 LES VOEUX DE POUTINE

(sous-titre en français) 

 https://www.youtube.com/watch?v=CcBQGickokA

 BONJOUR MES AMIS

Il s’agit pourtant d’un ÉNORME et odieux scandale de pédocriminalité impliquant les élites américaines révélé grâce à Wikileaks et le piratage des messages électroniques de John Podesta, chef de l’état-major de Bill et Hillary Clinton, qui fut aussi conseiller de Barack Obama jusqu’à février 2015.

Pourtant la presse bien pensante, très prompte lorsqu’il s’agit de pédophilie au sein de l’Église, place une épaisse chape de silence sur les mêmes pratiques, plus terribles encore, lorsque ces dérives proviennent de nos élites politiques.

Nice Provence Info, premier site régional de réinformation, lève le voile sur ces pratiques tenues secrètes par tout un système de connivence morbide. Pour commencer voici un article publié sur Katehon (dans sa version anglaise) et traduit par Réseau International.

Pour en savoir plus, cliquez sur le lien ci-dessous !

Pizzagate : vous connaissez ? | Nice Provence Info