posté le 08-09-2016 à 12:35:36

LETTRE D'UN DETENU A SA MERE

   

  

   

Le dernier vœu


Un détenu condamné à mort en attente d'exécution, a
demandé comme un dernier souhait un crayon et du
papier. Après avoir écrit pendant plusieurs minutes, le
forçat appelé le gardien de prison et a demandé que
cette lettre soit remise à sa mère biologique.


La lettre disait ...
Mère, si il y avait plus de justice dans ce monde, nous
serions deux à être exécuté et pas seulement moi. Tu es
aussi coupable que je suis pour la vie que je mené.
Rappelles-toi quand j'ai volé et ramener à la maison la
bicyclette d'un garçon comme moi ?
Tu m'as aidé à là cacher pour que mon père ne puise pas
là voir.
Te rappelles-tu la fois que j'ai volé de l'argent dans le
portefeuille du voisin ?
Tu es allé avec moi au centre commercial le dépenser.
Te rappelles-tu quand je me suis disputé avec mon père
et qu’il est parti ?
Il voulait juste me corriger parce que j'avais volé le
résultat final du concours et que j'avais été expulsé.
Maman, j’étais juste un enfant, peu de temps après je
suis devenu un adolescent troublé et maintenant je suis
un homme assez mal formé.
Maman, j’étais juste un enfant ayant besoin de correction
et non d'approbation. Mais, je te pardonne !
Je veux seulement que cette lettre atteignent le plus
grand nombre de parents dans le monde, pour qu'ils
sachent que ce qui rend tous les personnes, bonne ou
mauvaise ... c'est l'éducation.
Merci mère de m'avoir donné la vie et pour aussi m'avoir
aidé à la perdre.
Ass
Ton enfant délinquant.

 

RÉFLEXION :


« Qui refuse de châtier son fils ne l'aime pas ;
celui qui l'aime le corrigera de bonne heure. »

 

« L'éducation est l'arme la plus puissante que vous
pouvez utiliser pour changer le monde. » (Nelson
Mandela).

   

 

  

 

     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

BON JEUDI 

 

 

 


Vos mots d'amitié

 
 
 
posté le 06-09-2016 à 16:43:18

LE JOUR OU JE ME SUIS AIME POUR VRAI

  

 

 

  

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et, alors, j’ai pu me relaxer.


Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Estime de soi.


Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle, n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.


Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Authenticité.


Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle.


Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Maturité.


Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment.


Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Respect.


Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme.


Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Amour Propre.


Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grand plans, j’ai abandonné les méga – projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plaît et à mon rythme.


Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Simplicité.


Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.


Aujourd’hui, j’ai découvert l’Humilité.


Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.


Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s’appelle Plénitude.


Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir, mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient un allié très précieux.


Tout ceci est Savoir Vivre !


Rectification : Ce texte n’est pas de Charlie Chaplin mais de Kim McMillen.


Sandra Véringa

http://www.espritsciencemetaphysiques.com/

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Vos mots d'amitié

 
 
 
posté le 04-09-2016 à 09:08:57

MERE TERESA : TOUT SAUF UNE SAINTE...

 

 

 

 

 

Mère Teresa : tout sauf une sainte…

 

Nous avions relayé cet article en 2013 (1) mais comme il n’est plus disponible sur le site source, nous le rediffusons entièrement, en précisant que la presse française marxiste porte aux nues en ce moment une catholique, ce qui démontre que le marxisme et le catholicisme sont non seulement compatibles, mais qu’ils sont alliés.
Serge Larivée, professeur à l’École de psychoéducation de l’Université de Montréal, et ses collègues Carole Sénéchal et Geneviève Chénard, dans le cadre d’un article scientifique qui sera publié dans l’édition de mars de la revue Studies in Religion/Sciences religieuses, présentent une analyse des écrits publiés sur mère Teresa qui déboulonne le mythe d’altruisme et de générosité accolé au personnage. À l’instar du journaliste et auteur Christopher Hitchens (2), abondamment cité dans leur analyse, ils concluent à la construction d’un personnage auréolé de sainteté – qui ne résiste toutefois pas à l’analyse des faits – et dont la béatification a été orchestrée par une efficace opération de relations médias.« Alors que nous cherchions de la documentation sur le phénomène de l’altruisme dans le cadre d’un séminaire sur l’éthique, l’un de nous est tombé sur l’œuvre et la vie d’une des femmes les plus encensées par l’Église catholique et faisant aujourd’hui partie de notre imaginaire collectif : mère Teresa, de son vrai nom Agnes Gonxha, explique le professeur Larivée. La description qui en était faite était si dithyrambique que cela a piqué notre curiosité et nous a donné envie de pousser notre recherche plus loin. »Les trois chercheurs ont donc répertorié 502 ouvrages consacrés à la vie et l’œuvre de mère Teresa. Après avoir éliminé 195 doublons, ils ont consulté 287 ouvrages pour mener à bien leur travail d’analyse, ce qui représente 96 % de la littérature sur la fondatrice de l’ordre des Missionnaire de la charité (MC).

 

Les faits déboulonnant le mythe de mère Teresa


Dans leur article, Serge Larivée et ses collègues font aussi état d’un certain nombre de problèmes dont le Vatican n’a pas tenu compte dans le processus de la béatification de mère Térésa, soit  « sa manière pour le moins discutable de soigner les malades ; ses contacts politiques douteux; sa curieuse gestion des faramineuses sommes d’argent qu’elle a reçues et un dogmatisme excessif notamment à l’égard de l’avortement, de la contraception et du divorce. »

Les malades doivent souffrir comme le Christ sur la croix

Au moment de son décès, mère Teresa avait ouvert 517 missions accueillant les pauvres et les malades dans plus de 100 pays. Ces missions ont été qualifiées de mouroirs par des médecins ayant visité plusieurs de ces installations à Calcutta. Les deux tiers des personnes fréquentant ces missions espèrent y trouver un médecin pour être soignées et l’autre tiers agonise sans recevoir les soins appropriés. Les médecins y observent un important manque d’hygiène dans les locaux, voire de l’insalubrité, une rareté de soins réels, un régime alimentaire insuffisant et l’absence d’antidouleurs. Ce n’est pas un manque d’argent qui est en cause – la Fondation mise sur pied par mère Teresa a amassé des centaines de millions de dollars – mais une conception particulière de la souffrance et de la mort : « Il y a quelque chose de très beau à voir les pauvres accepter leur sort, à le subir comme la passion du Christ. Le monde gagne beaucoup à leur souffrance », répond-t-elle aux reproches, rapporte le journaliste Christopher Hitchens.  Et pourtant, lorsque mère Teresa a eu besoin de soins palliatifs, c’est dans un hôpital américain ultramoderne qu’elle les a reçus.

Contact politique douteux et comptabilité obscure

Mère Teresa était très généreuse de ses prières, mais plutôt avare des millions de sa fondation au regard des souffrances de l’humanité. Lors des nombreuses inondations majeures en Inde ou lors de l’explosion d’une usine de pesticides à Bhopal, elle offre ses prières ou des médailles de la Sainte Vierge, mais aucune aide directe ou monétaire. Elle n’a pas non plus de scrupules à accepter la Légion d’honneur et une bourse de la part du régime dictatorial des Duvalier en Haïti. C’est par millions que l’argent transitait dans les divers comptes bancaires des MC, mais la plupart des comptes étaient tenus secrets, énumère Serge Larivée. Compte tenu du « caractère parcimonieux de la gestion des œuvres de mère Teresa, on peut se demander où sont passés les millions destinés aux plus pauvres parmi les pauvres ? » se questionnent les chercheurs.

Un excellent plan média vers la sainteté

Malgré tous ces faits troublants, comment mère Teresa a-t-elle pu réussir à se construire une image de sainteté et de bonté infinie? Selon les trois universitaires, la rencontre à Londres en 1968 de Malcom Muggeridge de la BBC, un journaliste anti-avortement partageant les valeurs de l’aile droite catholique, est déterminante. Ce dernier décide de faire la promotion de la religieuse qui découvre alors l’efficacité des médias de masse. En 1969, il réalise un film dithyrambique sur la missionnaire et il en fait la promotion en affirmant qu’on peut y voir le « premier miracle photographique », qu’il attribue à mère Teresa alors qu’il aurait dû l’attribuer à la nouvelle pellicule mise en marché par Kodak. S’ensuit de nombreux voyages pour la religieuse sur les cinq continents, de nombreux prix, dont le plus prestigieux, le Prix Nobel de la paix. Dans son discours de remerciements, au sujet des Bosniaques violées par des Serbes et désirant avorter,  elle dira : « I feel the greatest destroyer of peace today is abortion, because it is a direct war, a direct killing – direct murder by the mother herself. »

À la suite de son décès, le Vatican décide ne pas attendre les habituels cinq ans avant d’ouvrir le procès en béatification. Le miracle qu’on lui attribue est la guérison d’une femme, Monica Besra, souffrant d’une intense douleur à l’abdomen. L’application sur son abdomen d’une médaille bénite par mère Teresa l’aurait guérie, prétend cette femme. Pourtant, ses médecins sont d’avis contraire : le kyste ovarien et la tuberculose dont elle souffrait ont été guéris par les médicaments qu’ils lui ont administrés. Le Vatican conclut malgré tout au miracle. La popularité de mère Teresa était telle qu’elle en était devenue une intouchable pour la population, qui l’avait elle-même déclarée sainte. Pour le Vatican, quoi de mieux que la béatification, puis la canonisation « de ce modèle pour revitaliser l’Église et inspirer les fidèles surtout à l’heure où les églises se vident et l’autorité romaine décline », suggèrent les chercheurs.

L’effet positif du mythe de la mère Teresa

Malgré sa façon douteuse de prendre soin des malades en glorifiant leurs souffrances plutôt qu’en les soulageant, Serge Larivée et ses collègues soulignent l’effet positif du mythe de mère Teresa : « Si l’extraordinaire figure de mère Teresa transmise à l’imaginaire collectif a suscité des vocations d’humanitaires authentiquement engagés auprès de populations écrasées par la misère, on ne peut que s’en réjouir. »  « Il est fort probable qu’elle ait inspiré plusieurs travailleurs humanitaires dont les actions ont permis de soulager véritablement les souffrances des déshérités et de s’attaquer aux causes de la pauvreté et de l’isolement, et sans que ceux-ci soient portés aux nues par les médias, ajoute Serge Larivée. Malgré tout, il aurait été souhaitable que les médias qui ont couvert l’œuvre de mère Teresa fassent preuve de plus de rigueur », conclut-il.

 

Références sur l’étude
L’article Les côtés ténébreux de Mère Teresa de Serge Larivée, de l’École de psychoéducation de l’Université de Montréal, Carole Sénéchal, de la Faculté d’éducation de l’Université d’Ottawa, et Geneviève Chénard, de l’École de psychoéducation de l’Université de Montréal, peut être consulté en ligne sur le site Web de Studies in Religion/Sciences religieuses (3).

La version imprimée sera publiée en mars 2013 dans le numéro 42 Studies in Religion/Sciences religieuses.

Ces travaux de recherche n’ont pas fait l’objet de subventions ou de financement particulier.

——

(1) http://www.enquete-debat.fr/archives/mere-teresa-tout-sauf-une-sainte-11297

(2) les anglophones pourront regarder cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=65JxnUW7Wk4

(3) http://web.archive.org/web/20160115084539/http://sir.sagepub.com/

 


Vos mots d'amitié

 
 
 
posté le 01-09-2016 à 11:36:42

L'ABONDANCE

 

 

    

 

 

 

  

Qui vous pensez être est par ailleurs intimement lié à la façon dont vous estimez que les autres vous traitent. Bien des gens se plaignent que les autres ne les traitent pas assez bien. « On ne m'accorde aucun respect, aucune attention, aucune reconnaissance », disent-ils. « On me prend pour acquis. » Et quand les gens sont gentils avec eux, ils s'imaginent toutes sortes de motivations cachées.

« Les autres veulent me manipuler, profiter de moi. Personne ne m'aime. »

  

Et ce qu'ils pensent d'eux revient à ceci : « Je suis un pauvre "petit moi" en manque dont les besoins ne sont pas comblés. » Cette perception erronée de ce qu'ils sont amène la dysfonction dans toutes leurs relations. Ils croient qu'ils n'ont rien à donner et que le monde ou les autres gens retiennent ce dont eux ont besoin. Leur réalité tout entière est fondée sur un sentiment illusoire de ce qu'ils sont. C'est ce qui sabote toutes les situations et relations.

Si la pensée du manque - qu'il s'agisse d'argent, de reconnaissance ou d'amour - est devenue une partie intégrante de ce que vous pensez être, vous connaîtrez toujours le manque. Plutôt que de reconnaître tout le bien qui vous arrive dans votre vie, vous ne voyez que le manque.

Reconnaître tout le bien qui vous arrive dans la vie est ce qui sert de fondement à l'abondance. En fat, tout ce que vous estimez que le monde retient et ne vous donne pas, c'est exactement ce que vous retenez et ne donnez pas. Vous le retenez parce que, profondément, vous pensez que vous êtes petit et que vous n'avez rien à donner.

  

Essayez de faire l'exercice suivant pendant une semaine ou deux et observez de quelle façon il change votre réalité. Quoique que ce soit que vous pensiez que les gens retiennent et ne vous donnent pas (louanges, appréciation, aide, amour, bienveillance, etc.), donnez-le leur. Vous ne l'avez pas? Faites comme si vous l'aviez et cela viendra. Alors, dès que vous commencerez à donner, vous commencerez à recevoir. Vous ne pouvez pas recevoir ce que vous ne donnez pas. Ce qui entre est le pendant de ce qui sort. Ce que vous pensez que le monde retient et ne vous donne pas, vous l'avez déjà. Si vous ne le laissez pas sortir, vous ne saurez même pas que vous le posséder. Ceci comprend aussi l'abondance.

 

La loi qui veut que ce qui entre soit le pendant de ce qui sort est exprimée par Jésus dans cette image puissante: « Donnez, et l'on vous donnera, on versera dans le pan de votre vêtement une bonne mesure bien tassée, secouée et débordante: car on emploiera à votre égard, la mesure dont vous vous serez servi pour mesurer». (Luc, VI, 38)

  

La source de toute abondance ne se trouve pas à l'extérieur de vous, elle fait partie de ce que vous êtes. Commencez cependant par reconnaître l'abondance à l'extérieur de vous. Voyez la plénitude de la vie, la chaleur du soleil sur votre peau, les magnifiques fleurs dans la vitrine du fleuriste, le fruit succulent dans lequel vous mordez ou l'abondante pluie qui tombe du ciel et vous trempe. La plénitude de la vie est dans tout. Quand vous reconnaissez l'abondance qui est autour de vous, l'abondance latente en vous s'éveille. Laissez la alors sortir.

 

Quand vous souriez à un étranger, une infime énergie irradie de vous. Vous devenez un donneur. Posez-vous souvent la question suivante: « Que puis-je donner ici? Comment puis-je rendre service à cette personne ou dans cette situation ? » Point besoin de posséder quoi que ce soit pour vous sentir abondant. Par contre, si vous vous sentez constamment abondant, l'abondance viendra certainement à vous.

En fait, elle ne vient qu'à ceux qui l'ont déjà en eux. Tout cela semble un peu injuste mais ça ne l'est pas, bien entendu. C'est une loi universelle. Aussi bien l'abondance que la pénurie sont des états intérieurs qui se manifestent comme votre réalité. Jésus l'a formulé comme suit : « Car à celui qui a, on donnera encore, mais à celui qui n'a pas, on ôtera même ce qu'il a. » (Marc, IV, 25)

 

Extrait du livre "Nouvelle terre, par Eckhart Tolle, pages 161-163.

 

Découvrez le livre d' Eckhart Tolle: Nouvelle terre

 

  

   

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

Tags: #abondance
 


Vos mots d'amitié

 
 
 
posté le 22-08-2016 à 18:44:26

AFFIRMATIONS POSITIVES

 

 

BONJOUR MES AMIS 

   

 

 

  

  

AFFIRMATION N°1 :


Je me réveille déjà enthousiaste, et cet enthousiasme me

 

suit toute la journée !



AFFIRMATION N°2 :


J’apprécie et je suis reconnaissante pour tout ce que j’ai !



AFFIRMATION N°3 :


Je suis heureuse et en excellente santé !



AFFIRMATION N°4 :


Je réussis tout ce que j’entreprends !



AFFIRMATION N°5 :

 

 L’argent viendra facilement MAINTENANT !

  

 

  

Maisons originales

  

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Vos mots d'amitié

 
 
 
 

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