Coucou mes amis

Combien de fois entendons-nous ce refrain

On a écrit des bouquins, fait des chansons

On en parle souvent, de toutes les façons

 Bonjour mes amis,

Pas besoin d'être en couple pour être heureux, être heureux, c'est

Poésie Sioux

Je ne vous souhaite pas un don tout,

Je te souhaite seulement ce que les plus n'ont pas.

J'ai appris à aimer

J'ai appris à détester

A fuir dans le vide

 En forme pour la journée  

Lisez ce texte écrit par Regina Brett, dans le journal « Plain Dealer » de Cleveland le 28 mai 2006. Elle n’a jamais écrit une chronique aussi populaire. C’est un hymne à la Vieillesse, à la Sagesse, au Bonheur.

Lorsqu'on calme notre esprit et qu'on se tourne vers l'intérieur, on entend des voix, des vieilles pensées qui ont servi de pierre d'achoppement à notre propre accomplissement.

Après un certain temps, tu apprends la subtile différence

On entend parfois dire que c'était mieux dans " le bon vieux temps ". Personnellement, je n'en suis pas du tout convaincu. La vie était plus simple, d'accord, mais sûrement pas plus facile à vivre. N'oublions pas que nos visions ne sont pas toujours objectives quand on regarde en arrière.

Quelle est la recette du bonheur ?

À cette question posée par le journaliste argentin Pablo Calvo pour la revue Viva, le pape réfléchit un instant, puis s’anime. Visiblement détendu au milieu d’un groupe d’émigrés argentins reçus le 7 juillet dernier à la Maison Sainte-Marthe, il livre en dix points sa « recette du bonheur ».

Un orchestre arriva un jour dans une ville pour tenir la parade annuelle. Malheureusement, le jeune qui jouait du trombone tomba soudainement malade.

1. Trouvez de nouvelles façons de faire les choses.

Bonjour mes amis

Toute la journée, nos pensées nous tiennent compagnie. Bonnes pensées, pensées médiocres, pensées à rectifier, ou pensées carrément pas bonnes.

Que fait-on lorsqu'on veut faire éclore un œuf ? On le maintient pendant le temps voulu à la bonne température.

Nous sommes tous nés sous une bonne étoile.

Nous aimons parfois croire que nous ne sommes pas responsables du cours de notre existence et nous blâmons nos parents, notre conjoint ou la société pour nos difficultés.