LE RÉGIME MACRON EST A L'ORIGINE DE L’INCENDIE DE LA TOITURE DE NOTRE-DAME.
Comment donc ?
1) Un volume et un type de fumée totalement sans rapport avec un tel incendie :
De la fumée blanche et jaune en quantité énorme dès le déclenchement de l'incendie, alors qu'un incendie provoque de la fumée noire, et que la fumée ne devient claire qu'à partir du moment où l'eau est envoyée en quantité telle que la vapeur d'eau prend le dessus sur le carbone.
A gauche sur la photo du post, des fumées provoquées par la combustion du bois, qui s'échappent à travers la façade de Notre-Dame. A droite, la combustion d'autre chose, chimique dans tous les cas, peut-être de la thermite (dont la combustion produit une fumée jaune).
2) Voici la vidéo présentée par TF1 comme la première que l'on ait de la cathédrale en feu.
14 minutes entre cette vidéo et la seconde alerte !! 14 toutes petites minutes pour en arriver à un tel brasier ...
Bref, AUCUNE vidéo ne circule du feu avant d'en être à un stade aussi avancé et brutal. Pourtant à 19h, autour de Notre-Dame, ce ne sont pas les touristes et les appareils photos et autres caméras qui manquent...
C'est donc qu'il nous faut gober que le feu est passé, sans étape intermédiaire, de rien à ça.
https://l.facebook.com/l.php?u=https%3A%2F%2Fwww.google.com%2F%3Ffbclid%3DIwAR11a-4lJucVGxDFmjUXiWRzWNQ7bpg9O6CqwUdDiRZH80mNAGX_KthDh54&h=AT1G1WW7qfu198J2gVz9BHXl79XTLSn3NQyd8YuMg53sAKAWvtH565QTVfHgOZk9rRJS8fkbWwMcnjbCGoU6qr0OULC833HIBa5TSn477RAI1t7y4rTPItFLEnLwnYU8_Ms1yiAECJXKtIT4R9j3pqlAsMWGcghQjq6DC8mLKfeENyPA…/incendie-de-notre-dame-une-image-p…
3) Faisons la supposition que de la thermite ait été stockée à la base de la flèche et allumée.
La température d'un incendie impliquant des poutres de bois est de 800 degrés. Le plomb fond à 335 degrés et ne change rien à la température de l'incendie.
La température de fusion de l'acier galvanisé de l'échafaudage est de 1485 degrés.
La température de combustion de la thermite est de 2200 degrés.
Donc, s'il y avait eu combustion initiale de thermite à la base de la flèche, il serait logique que l'échafaudage soit fondu à proximité de la position initiale de la flèche, et de plus en plus intact au fur et à mesure que l'on s'éloigne de ce point chaud.
Logique aussi que les poutres ayant brûlé directement sous l'échafaudage ne lui aient causé aucun dommage.
Ça tombe bien, la réalité observable confirme le raisonnement, ainsi que le montrent la seconde photo du post, ou encore la photo suivante :
4) Rapidité de la survenue du sinistre face à l'impossibilité que ses poutres de 400mm de section prennent feu aussi vite :
Notre-Dame, alerte incendie à 18h47, puis tout le toit est en flammes à 19h, et la flèche s'effondre à 19h45.
Or, il est totalement impossible de faire prendre des poutres de chêne 400 mm à une telle vitesse. Il faut plusieurs heures pour faire prendre des poutres d'un telle section.
De plus, les charpentiers du moyen âge faisaient subir des traitements par bains de minéraux à leurs bois de charpentes, bains d'un an par centimètre de section du bois (donc 20 ans pour des poutres de 400 mm de section).
Comprendre la qualité du traitement de ces bois de chêne : ils sont si proches d'une structure minérale que 900 ans plus tard, immergés dans la lagune de Venise, ils continuent de porter toute la ville, y compris la basilique de la place Saint Marc, structure au poids considérable.
Bref, au moyen âge vers 1200, les mêmes techniques de bains ont été utilisées pour Notre Dame comme pour Venise, et ces techniques, auxquelles nous ne connaissons plus grand chose, rendaient le bois aussi imputrescible qu'ininflammable.
Ci-dessous, l'effet du feu sur un tout petit bout de chêne récent, n'ayant rien subi de ces traitements.
https://www.facebook.com/giletjauneofficiel/videos/280263222855707/?fref=mentions
Et ci-dessous, un excellent travail qui démontre que même à l'air libre, même avec des allumeurs, même avec une poutre de 30 ans et de section plus faible que celles de Notre-Dame, la théorie accidentelle ne résiste pas 10 secondes à l'analyse critique.
En outre, le dernier feu d'une charpente similaire qui se produisit en France fût celui du parlement de Bretagne, la nuit du 4 au 5 février 1994.
Et l'on sait aujourd'hui que le feu partit d'une fusée tirée par les manifestants, en fin de cortège d'une manif qui se finit vers 19 ou 20h ce jour là.
La charpente brûla totalement entre minuit trente et deux heures du matin. Il fallut donc cinq ou six heures pour que des poutres en chêne, de section comparable (quoique inférieure) à celle de Notre-Dame, prennent feu.
Enfin, l'ancien architecte officiel de Notre-Dame, responsable du bâtiment de 2000 à 2013, et architecte de sa sécurité incendie, est incrédule face à la rapidité de la propagation du feu :
5) La thèse accidentelle, "vérité" assénée en boucle dès le premier instant :
Des "experts" et un "procureur" savent dès le début que l'accident est accidentel.
30 minutes après le départ de flammes, les médias répètent en boucle qu'il s'agit d'un départ de feu accidentel, sans un embryon de début d'enquête scientifique.
Scénario AZF, ou 11 septembre, où la vérité est connue et assénée en boucle avant que tout élément matériel ait pu être dégagé par des enquêteurs qui, aujourd'hui encore, n'ont pas commencé la collecte des éléments, puisque la cathédrale menace par endroits de s'effondrer.
Ci-dessous, un lien vers TF1, datant de 4 jours après l'incendie. Après quatre jours "l'enquête pour déterminer les causes de l'incendie va prendre du temps".
https://l.facebook.com/l.php?u=https%3A%2F%2Fwww.lci.fr%2F%3Ffbclid%3DIwAR0kbM0hTyg-NIoahwSzc50SZpvXvXzBNs6KhkmNxQ1UEjeQbcBq4R1KoNQ&h=AT12q4bjjV7GScxpeYXMbJXa-_3xD4eJtaJJ_XKPfvBkWefxoQPIBywM4gVdDRBsXv5TrM_NXCQiITMYpU_3mipHaIofAuADfvwVyIs-ZHcwlyCEF32o5_i8vEELdSwV7YMsATV9eIW2lZA2o_MEpOgHFEGTAtkuQtDU0-CEsUqKhOmy…/notre-dame-pourquoi-l-enquete-pour-det…
6) L'impossibilité d'un acte terroriste "amateur" :
Même dans le cas d'un acte terroriste tel que celui projeté en 2016, trente litres d'essence, voire même cent litres ou deux cent litres, n'auraient pas suffi à allumer le brasier à la vitesse à laquelle il s'est propagé.
Encore une fois, l'on parle de poutres de 400 mm de section, sur toute la longueur de la nef et du transept, et chacune de ces poutres a besoin de cinq ou six heures pour prendre feu.
Or, même un commando de huit hommes transportant chacun 25 litres et montant 100 mètres, puis redescendant, n'aurait jamais suffi à allumer une telle quantité de bois aussi rapidement.
Projet d'acte terroriste sur Notre-Dame en 2016 :
7) Une cathédrale qui avait de toute façon besoin d'un sérieux ravalement :
La vérité aussi, c'est que la partie qui a été brûlée avait besoin d'un sérieux investissement en travaux :
http://l.facebook.com/l.php?u=http%3A%2F%2Fwww.leparisien.fr%2F%3Ffbclid%3DIwAR1yFLw7DGvk20XO0tkJl_j7dCP5-lcIuAXwOLLKvRzIIworu2hCnmoZwEs&h=AT3B3hRB2-D8j5tordUqMM-rYUfjoauEiMBNqSXH9-WOz7ls7lTKNYM66yQjBZIRrb9g9D2rz_mZ7cjf3v0oabx8-Np9suEUvZTc8ffFCgPxGvLMMukZBaREwnJ-Cx65m0lktpdn4urs-FhUHW4N9b3UPM9aXa4RaDtHBLp0bG1ooFWU…/paris-il-faut-150-millions-pour-…
Et puis, quatre jours avant le sinistre (!!!), les douze apôtres de la flèche avaient été démontés. Timing serré, tout comme le feu une heure avant le discours de Macron, on sent une certaine maîtrise de l'agenda.
8) Macron et Philippe en rigolent :
Quoi de plus logique, de la part du pouvoir, que de s'amuser de la farce sinistre qu'ils sont en train de jouer... Là où la plupart des français étaient consternés par les images, eux faisaient ces têtes là :
9) Un indice majeur de plus :
Vidéo capturée à 17h05 ce jour là, à distance, du toit de Notre-Dame.
Officiellement, il n'y avait sur le toit que douze monteurs d'échafaudage, dont les outils, selon la version officielle n'étaient que des marteaux et des clefs de 22. Les ouvriers disent être descendus de l'édifice à 17h20 et remis les clefs du chantier à la conciergerie.
Or, deux flashes peuvent être vus sur les vidéos, à la 3ème et la 16ème seconde, à proximité d'un homme qui va de l’endroit du premier flash à l'endroit du second.
Une chaîne pyrotechnique simple, c'est un boutefeu, une mèche lente, un détonateur et une charge principale.
Lorsque l'on veut assurer le coup, l'on double les boutefeux et les mèches lentes.
C'est exactement ce que l'on voit ici, de loin, mais assez bien pour comprendre que deux boutefeux sont opérés par un individu qui passe de l'un à l'autre et se baisse à chaque fois pour constater que la mèche brûle bien.
L'explosion du détonateur qui aura allumé la charge incendiaire aura bel et bien été entendue à 18h43 par les fidèles qui, participant aux vêpres, furent évacués.
CONCLUSION :
Dans tous les cas, seul l'état français enfin, le régime de Macron a pu ainsi mettre en place les quelques tonnes de préparatifs chimiques nécessaires à cette mise en scène, en faisant travailler ses milices privées de Benallas payées par les fonds publics (contrairement à Adolf Hitler qui avait au moins la courtoisie de rémunérer ses SA sur fonds privés).
Car je pense qu'aujourd'hui, l'honnête homme se doit de distinguer la France du régime de Macron, tout comme l'historien distingue clairement la France du régime de Vichy.
Le 27 février 1933, Hitler avait aussi brûlé le Reichstag. Lui, c'était pour détruire les communistes en Allemagne.
Macron, c'est une tentative désespérée de reprendre le contrôle du pays, qui lui échappe totalement, à lui et à ses amis patrons, ce groupuscule de milliardaires, ceux là même qui contrôlent toute la soi-disant presse du pays.
Tentative désespérée de la mafia au pouvoir qui, au moins, a le mérite de montrer au grand jour les visages du "deep state" français, les visages du groupuscule fasciste qui a volé le pouvoir.
Son listing complet est celui des "généreux donateurs" !!
Bref, cette photographie, comme bien d'autres, est la preuve absolue que quelque chose d'autre a brûlé sous la toiture de Notre-Dame.
PARTAGEZ !!! Car le fascisme ne vit que par le mensonge, et le seul obstacle au mensonge et au fascisme, c'est la vérité.
Commentaires
Salut Cricri, tout ce que tu décris est édifiant et scandaleux...Affaire à suivre....Bises et bonne fin de soirée...
On se console car la reconstruction va donner du travail à de nombreux corps de métier je connais un tailleur de pierre un beau métier à l ancienne qui aimerait utiliser plus souvent son art
J'espére juste que je pourrais la réviser avant ma mort !
Bonjour Cricri,
Merci pour ton passage chez moi et pour ton commentaire. Effectivement, les sous-bois bleus de jacinthes des bois en ce moment, c'est magnifique, et en plus ils dégagent une agréable odeur.
Notre-Dame, je ne m'aventurerais pas à creuser la réalité des faits, je laisse le soin aux spécialistes pour cela. Mais j'avoue qu'il y a des zones d'ombre, et des questions autour de cette affaire.
Ah tu vas à Miami, t'en as de la chance, je te souhaite un bon séjour là-bas, tu nous mettras de belles photos ici.
Bien amicalement,
Gérard.
Bisous