BONSOIR MES AMIS
Barack Obama, l’Affidé de Sion, a fait ses valises. Il a tiré sa révérence. Les visions vertigineuses du prix Nobel de la paix 2009, le plus meurtrier de l’histoire vont nous manquer. Enormément.
Avant de rejoindre le club des conférenciers à 100 000 $, celui qui s’est présenté comme le bon père de famille qui a toujours horreur des guerres, a largué dans le monde entier en 2016, 26171 bombes. 72 bombes par jour. 3 bombes par heure. Car c’est, parait-il, un authentique militant de la paix.
Obama est aussi un expert en golf. Car quand on pense Obama on pense au golf, aux parcours de golf et aux clubs de golf. Parce qu’Obama ne pense qu’au golf. Et ce n’est pas une plaisanterie ou une farce. Mr Barack Obama “The président of the United States Of America” a fait 314 parcours en 8 années. Ce qui est un niveau de sérieux que même Tiger Woods aurait du mal à respecter.
En 2016, il a reçu une véritable fessée de la part de Vladimir Poutine dont le budget militaire est de 48 milliards de $ et est 13 fois inférieur à celui du budget militaire Américain (622 milliards de $). Ainsi, Il en coute de sous estimer le pays d’Oleg Le Sage (879-912) ap J-C et d’Ivan Le Terrible (1530-1584) ap J-C. Les cultures millénaires leur ont appris la patience. C’est ce qui manque aux cow-boys Américains. La culture millénaire et la patience.
Sans être négrophobe, même les écoliers de la maternelle savent qu’Obama, qui a toujours l’air de sortir d’une salle de sport, est un spécialiste du mensonge non-stop et une marionnette au service des pouvoirs financiers et militaires, élu uniquement pour les basses besognes.
Baudelaire fondateur de l’anti-américanisme avec Edgar Poe, n’avait pas tort en affirmant déjà que « les USA sont un pays gigantesque et enfant. Anormal et presque monstrueux ».
DELIRIUM TREMENS ?
Le menteur en chef dans son dernier discours à Chicago, le mardi 10 janvier 2017, en tant que chef d’état d’un état voyou, possédant la première population carcérale du monde, a terminé son discours délirant : oui nous l’avons fait. Encore une fois, il a montré qu’il n’est capable que de paroles en l’air.
Prêcher une chose et faire tout juste son contraire relève d’un aplomb peu ordinaire, sauf a considérer que l’art de la politique, c’est de mentir avec cet aplomb. Dans son cas à lui, tenir ce rythme durant 8 années, il faut le faire. Il l’a fait. Ils l’ont fait. Félicitations.
En prenant la peine d’écouter un de ses discours, au bout d’un certain laps de temps, on ne comprend pas de quoi il parle. En fait, il parle pour ne rien dire. Ce qui inquiète surtout, ce sont ceux qui dans la salle applaudissent régulièrement. Et lorsque les applaudissements se transforment en acclamations bruyantes, il est bien clair qu’on est dans le comique et le tragique.
Lorsqu’il se livre à un cours de géostratégie ca décoiffe. Dans un discours à Washington, le 12 janvier 2016 : il a « affirmé que les USA ne doivent pas devenir un pays qui intimide les autres ».
Nonobstant, qu’ils ont provoqué depuis la fin de la 2eme guerre mondiale, plus de 201 conflits, qu’ils ont tenté de renverser plus de 50 gouvernements étrangers, qu’ils ont bombardé les populations de plus de 30 pays, qu’ils sont intervenus dans 14 pays musulmans, en les envahissant ou en les détruisant, qu’ils ont tenté d’assassiner plus de 50 dirigeants étrangers, qu’ils ont interféré dans les élections d’au moins 30 pays et qu’ils possèdent 725 bases militaires dans près de 80 pays.
Ce maillage militaire à l’échelle planétaire correspond à 95 % des bases militaires étrangères dans le monde et caractérise clairement les USA comme un empire. Un record dans le domaine de l’étrange. D’autant plus que du temps de ce golfeur, le monde a été inondé de nouvelles guerres dans toutes les régions sauf en Amérique du Nord. C’est le hasard. Surement. Comprenne qui pourra.
En 2016, ils ont effectués des frappes aériennes dans 7 pays Arabes, associées à une nouvelle politique, l’emploi de mercenaire qui permet de ne plus avoir de comptes à rendre. Leurs militaires sont impliqués discrètement ou seulement de loin par des drones ou en mini formation de forces spéciales qui dirigent et entrainent les « rebelles » djihadistes, coupeurs de tètes, mais très modérés.
L’IMPUDIQUE :
L’OTAN, c’est-à-dire les USA, ont commencé à encercler la Russie depuis la dissolution du pacte de Varsovie le 1er juillet 1991. Insidieusement, sournoisement, machiavéliquement, tel un crotale qui enserre sa proie. Le chef de la diplomatie Russe Sergey Lavrov, a capturé toute l’impudeur de la situation avec sa formidable remarque du 27 septembre 2014, à l’ONU « excusez nous d’exister au milieu de toutes vos bases ».
Le comble a été atteint, le 4 juin 2016, lorsqu’il a affirmé que John Kerry lui avait demande de ne pas frapper ses alliés d’Al Qaida en Syrie. Une déclaration ahurissante qui ne fut pas démentie.
En Amérique latine, c’est Obama qui provoque par tous les moyens les gouvernements démocratiques qui ont fait veux de servir les intérêts de leur peuple avant celui des Etats–Unis. Il a encouragé et soutenu les coups d’états au Honduras, au Paraguay et tout récemment au Brésil, tout en ne cessant d’harceler les gouvernements de la Bolivie de l’Equateur et du Venezuela.
Le 9 mars 2015, il a déclaré que le Venezuela est une menace extraordinaire et inhabituelle pour la sécurité des USA. Aujourd’hui ce pays, fait l’objet d’un décret Obama. Grandeur et décadence.
Georges clémenceau n’avait-il pas dit que les USA forment un pays qui est passé de la barbarie à la décadence sans jamais connaitre la civilisation. C’est très simple, il suffit de faire un petit tour du coté de leurs rares musées, pour renforcer cette si triste réalité.
JE SUIS MORT DE RIRE :
Obama a visiblement un sens inné de l’humour. Et il n’en n’est pas conscient. Le 24 septembre 2013, il s’est présenté devant l’ONU pour déclarer « je crois que l’Amérique est exceptionnelle ».
Avec ce rigolard, quand on s’engage à lutter contre le terrorisme, ce n’est pas seulement les moyens de lutte qui sont fournis, mais les terroristes aussi. Les droits de l’homme, c’est pour justifier les bombardements, pas pour les interdire. Sauf s’ils sont russes. Enfin, cette fixation qu’il fait sur la démocratie chez les frisés au teint basané, c’est vraiment très curieux.
Avec ce bluffeur, qui a comme stratégie militaire, le terrorisme, les USA ont eu droit à la plus grande augmentation de la dette publique nationale de leur l’histoire. Elle est passée de 10.000 milliards de $ à 19.600 milliards de $. A titre de comparaison et tenez vous bien, du temps de Ronald Reagan elle est passée de 900 milliards à 2600 milliards et du temps de Bill Clinton, de 4000 à 5700 milliards de $. Il est grand temps de lui discerner, en plus du prix Nobel de la paix, le prix Nobel d’économie pour avoir été le président le plus prolifique de l’histoire de l’humanité.
En Afghanistan, depuis son invasion, la culture de l’opium a intéressé 224000 hectares et a atteint un record mondial. Elle est passée de la 13éme place mondiale à la très peu envieuse première place. Iouri Fedetov directeur exécutif de l’office de l’ONU contre la drogue dans le monde a minaudé, le 6 octobre 2016, que « l’élimination des champs de pavot pour la production d’Opium en Afghanistan, a été proche de Zéro en 2015», avec l’occupation immuable de ce pays, par ces archanges, sans « aucune raison », on comprend presque tout…
BOMBES ET BOBARDS :
Le 9 février 2014 avec Francois Hollande, il signe une tribune dans « le Monde » et le « Washington Post » où on a lu « pendant plus de deux siècles, nos peuples ont fait front pour défendre notre liberté commune. A présent, nous assumons, nos responsabilités, non seulement l’un vers l’autre, mais envers un monde qui est plus sur, grâce à la pérennité de notre alliance aujourd’hui réaffirmée »
En mars 2016, dans un entretien à la revue Américaine The Atlantic, Il a sombré dans le ridicule, en comparant les Français et les Britanniques à des resquilleurs qui profitent des services des USA sans rien donner en retour. « Les resquilleurs m’agacent. J’ai prévenu David Cameron que si le Royaume-Uni n’était plus en mesure d’allouer au moins 2% de son PIB à la défense, il ne pourra pas réclamer une relation spéciale avec les USA ». Il a exigé que les Britanniques et les Français prennent le commandement des opérations contre Kadhafi en Libye. J’ordonne, ils exécutent. On l’a bien vu.
Ce prédateur qui n’a qu’un seul crédo « la loi du plus fort », prend l’arène politique internationale pour une cour de recréation. Pour lui « Ces russes, mais quel culot !! Ils nous empêchent de dominer le monde, doivent payer leur audace » fait sourire plus de la moitié de la planète.
John Hobson a affirmé en 1902, que le meilleur alibi de l’impérialisme c’est l’humanitarisme, qui est basé sur une politique nauséabonde et sur les guerres honteuses. On y est en plein dedans.
L’IMPOSTEUR :
Le 24 juillet 2008, au Tiergarten à Berlin, il a prononcé un discours hilarant « si vous m’apportez votre voix, non seulement nous gagnerons l’élection, mais ensemble nous changerons ce pays et nous changerons le monde. Etc… ». La suite on la connait…
Pourquoi à Berlin ? Parce que tout simplement John Fitzgerald Kennedy, y avait prononcé son célèbre discours le 26 juin 1963 où pour narguer les Russes, il a prononcé la célèbre phrase « Ich bein ein Berliner » (Je suis un Berlinois). Quarante cinq ans plus tard, il a tenté de se positionner en JFK moderne. Mais la différence c’est que JFK est un homme d’état, qui a tout fait dans les coulisses avec le premier ministre Vietnamien de l’époque pour mettre un terme à la guerre du Vietnam. Et lui un petit imposteur.
Dans son discours d’investiture en 2009, Il s’est présenté au peuple comme un président anti-guerre. Il a montré au peuple pattes blanches sans sortir les griffes. Il a fait du désengagement militaire de son pays une promesse de campagne. C’est ce qui a fait couler des larmes à des millions de gens dont le pasteur Jesse Jackson. La aussi, la suite on la connait…
Dans son discours le 9 juin 2009, à l’université du Caire, notre penseur universel, entendait promouvoir la paix et construire des passerelles avec le monde musulman, en ânonnant « Assalamou Aleykom ». On a eu droit à un véritable coup de poignard tout en sourire et tout en douceur, par le biais du « printemps Arabe ».
George Walker Bush mène aujourd’hui une vie tranquille au Texas, où il se consacre surtout à la peinture. « J’essaie de laisser quelques choses derrière moi » a-t-il dit il y a juste une année.
Pour « laisser quelque chose derrière lui », je propose à Obama, puisqu’il n’a plus rien à envier à Eddy Murphy question comique, de tourner le cinquième volet du « Le Flic de Beverly Hills ». Son destin étant désormais connu et scellé. C’est celui d’un cabotin qui ne fait pas rire.
UN GRAND MALADE :
Pour Obama, Le bien, la vérité et la justice sont Américains. Le mal, le mensonge et l’injustice sont l’Islam paillasson, les Russes, les Syriens et les Iraniens.
Dans son discours du 24 Septembre 2014 à l’ONU, avaleuse professionnelle de couleuvre américano-sioniste : Il a désigné la Russie comme un des trois dangers qui menacent le monde avec l’état USlamique et le virus Ebola. Avec cette déclaration démente et ce moment culte, il n’a fait qu’aggraver désespérément son cas.
Avec un Obama, qui « œuvre à la paix mondiale et à la concorde universelle », le monde est devenu un asile à ciel ouvert. Le 20 janvier 2017, Son cas relève sans nul doute de la psychiatrie. Lourde, bien entendu.
Comme disait Touco, au tortionnaire, grand et costaud qui le torturait dans le film de Sergio Leone, « Le bon, la brute et le truand »: lorsque tu va vas tomber, tu feras beaucoup de bruit. Le glaive de l’histoire emportera inéluctablement cet empire du mal et du mensonge, sans aucune pitié. Et nul ne sera épargné. 250 années de malheurs. Le monde n’en peut plus.
C’est bientôt fini. Ils ne gagneront plus une seule guerre. Car lâches et pleutres.
Dr Fethi El Mekki
Pneumo-allergologue. Tunis.
Martinique